Propos italophobes chez la France Insoumise : la haine décomplexée !

Après la haine du « riche » et des traditions françaises, voici une nouvelle facette d’un parti politique à la dérive qui se croit tout autorisé pour faire parler de lui.

Ainsi, l’eurodéputée de la France Insoumise Manon Aubry (grande gueule qui se réclame d’un pseudo-féminisme libéré) est apparemment très dédaigneuse lorsqu’il s’agit de respecter des minorités ethniques, surtout quand celles-ci sont parfaitement intégrées à la France.

En effet, la Varoise qui se prend pour la Rosie la Riveteuse du dimanche au Parlement européen, ridiculisant toujours plus le sincère et juste combat des femmes, s’est emportée en déclarant en plein débat que « sale macaroni » n’était pas une insulte raciste (Franceinfo le 27 novembre).

À moins que cette communiste, qui défend l’héritage d’une idéologie qui a du sang sur les mains jusqu’aux épaules, ne considère que les Italiens sont des « mâles blancs » et que par conséquent les insultes les visant ne sont pas dramatiques, il serait bon de lui rappeler quelques drames de la communauté italienne dans l’Hexagone.

Parlons par exemple du massacre d’Aigues-Mortes, jamais évoqué dans les médias pourtant friands de victimisation des communautés, qui eut lieu entre le 16 et le 20 août 1893. Officiellement la mort de neuf Italiens a été enregistrée mais, selon d’autres sources, ce sont 50 Italiens qui furent tués (source : Journal The Times).

Parlons aussi d’un autre drame en 1882, là encore dans ma belle région d’Occitanie, à Beaucaire, lorsque quatre ouvriers italiens des hauts-fourneaux furent massacrés par la population locale.

Je comprends qu’une extrémiste pro-Mélenchon dont l’idéologie compte 100 millions de morts trouve cela banal et fait des préférences dans les communautés (calculs électoraux obligent), cependant elle ne devrait pas oublier que même si nos compatriotes et nos frères venus d’Afrique ont aidés notre merveilleux pays à se développer, il y eût également les Italiens et les Polonais pour suer dans les mines.

Ceux-là même qui sont morts de maladies respiratoires pendant que les amis de Manon Aubry jouaient la révolution dans leur salon, haut lieu de la compassion avec l’argent des autres.

Que surtout, elle n’oublie pas que si aujourd’hui elle vit dans un pays qui s’assoit à la table du G8, c’est en partie grâce à des « macaronis ».

Et heureusement qu’un journaliste sur le plateau s’est indigné, de manière impériale, pour dénoncer ce deux poids et deux mesures répugnant.

Madame Aubry, qui a très probablement reçu un avertissement de son patron, s’est dédouanée par un simple tweet pour renier sa position. Sans s’excuser au passage.

Si il y a bien une chose que je déteste, c’est l’éternel discours victimaire et de repentance de nos présidents de la République successifs. Je ne le souhaite ni pour la communauté italienne, ni pour n’importe quelle autre.

Mais plus encore, ce que j’exècre, c’est la mauvaise foi politique et la haine de gens qui n’osent pas assumer ce qu’ils pensent réellement. À savoir une hiérarchie des ethnies et des souffrances. Voilà le visage du communisme : détester et diviser un peuple sous des allures sentimentalistes.

Espérons que la France s’unisse pour infliger la plus grosse raclée électorale à ce parti nauséabond, et à ses dirigeants qui n’ont que comme outils politiques le chantage, le venin, et l’excitation passionnelle des foules.

J’adresse au passage mes félicitations à Florence Portelli pour son élégance et sa classe qui auront le mérite de ridiculiser toujours plus la grande « insoumise » Aubry payée 13 496 € par mois.

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